Archives pour la catégorie Avolta Partners

Soirée signature : La Révolution Blockchain

J’ai été sincèrement très touché par votre présence.

Je vous remercie du fond du coeur pour votre présence, hier lors de ce moment.

Vous étiez 200 à participer à cette rencontre et ceci a montré l’intérêt grandissant pour le sujet de la blockchain, de bitcoin, des algorithmes, des institutions.

N’hésitez à me donner vos feedbacks…

Si vous avez aimé: dites le! Si vous avez acheté votre exemplaire online alors n’oubliez pas de donner un 5/5 sur le site! J’ai besoin de top reviews.

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Vous avez été nombreux à me demander d’intervenir dans différents cercles et je le ferai avec plaisir, si mon agenda me le permet :

https://philipperodriguez.com/conferencier/

Startups : le Début de la période glaciaire ?

Publié dans  / http://digital-strategy.info/startups-le-debut-de-la-periode-glaciaire/

 

Bordeaux Fintech 2016 : Blockchain, PME et millenials

Ce jeudi, avait lieu la seconde rencontre nationale de l’ecosysteme Fintech français à Bordeaux, organisé par un groupe de passionnés dans un lieu inattendu : le Darwin.

Une bonne opportunité de rencontrer tous les membres de cette communauté et de partager avec eux des visions pour le futur.

J’ai reconnu trois thèmes majeurs en terme de cibles et de technologies : les pmes délaissées par les banques, les millenials qui délaissent la banque, et la Blockchain qui structure technologiquement plusieurs initiatives du futur.

Présentation étude sur la valorisation des startups à France Digitale Day

Aujourd’hui, nous présentons  en avant-première les résultats de l’étude sur la valorisation de start-ups en France.

Ce seront Arthur et Patrick qui assurent le show pendant l’atelier organisé avec Crédit Mutuel Arkéa et France Digital.

C’est l’aboutissement d’un long travail qui a été produit par Pascal et son équipe pendant l’été. L’étude porte sur 500 transactions de l’année dernière sur la France.

Nous sommes très excités à l’idée  d’étendre cette méthodologie aux pays comme l’Allemagne et l’Angleterre pour avoir  une vue européenne  et des comparaisons possibles entre les multiples des différents pays.

Cette méthodologie utilise énormément de données et quelques modèles mathématiques, mais comme dans toutes les modélisations elle laisse une grande part à l’expérience.

Nous avons la conviction que cet outil est extrêmement nécessaire pour rétablir un équilibre dans la négociation entre les entrepreneurs et les investissseurs.

Comme chaque marché,  une symétrie d’information est  nécessaire pour faciliter sa fluidité mais surtout pour le rendre efficient.  Le marché du capital dans le domaine du venture en France n’y échappe pas.

L’étude se trouve à http://www.avoltapartners.com

Diner des licornes Juin 2016

 

L’objectif ? Créer une communauté d’entreprises exceptionnelles dont la vision, la promesse et les valeurs nous laissent penser qu’elles seront les success-stories françaises de demain.

Autour de diners inédits, la banque d’affaires Avolta Partners et le cabinet d’avocats Gide, souhaitent réunir cette communauté et lui permettre d’échanger, de partager et de se connecter.

A chaque édition, vous aurez le plaisir de rencontrer et d’interagir avec les plus grands entrepreneurs français, ainsi que les fonds d’investissement les plus importants.
Pour cette deuxième édition le thème a été : la cession des startup.

Gilles Chetelat (StickyADS) et Jean-David Chamboredon (ISAI/StickyADS), Céline Lazorthes (Leetchi) et Emanuele Levi (360 Capital Partners/Leetchi), Jean-Daniel Guyot (Captain Train) et  Jean-Marc Patouillaud(Partech/LaFourchette), furent là pour revenir sur leurs parcours et expériences.

Ensemble, les entrepreneurs présents ont pu s’entretenir afin de savoir si les startups françaises sont toutes vouées à être absorbées par des ensembles étrangers plus grands ou si elles peuvent devenir des plateformes indépendantes créant leur propre écosystème.

Diner des jeunes licornes (Early Unicorn Diner) – Avolta Partners

 

Autour de diners inédits, Avolta Partners et le cabinet d’avocats Gide souhaitent réunir cette communauté et lui permettre d’échanger, de partager et de se connecter.A chaque édition, vous aurez le plaisir de rencontrer et d’interagir avec les plus grands entrepreneurs français.Pour cette première édition,

Thierry Petit et Benoist Grossmann sont venus présenter leurs parcours et expériences

 

 

Benoit  Grossmann (Idinvest) et Karen Noel (Gide)

 

 

Source: Diner des licornes – Early Unicorn Diner | Avolta Partners

 

Négociation avec investisseurs : 5 conseils d’un enfant de 5 ans

Bravo vous avez trouvé un investisseur idéal qui adore vos produits, votre vision, votre projet, l’équipe !

Il faut maintenant négocier les conditions d’un investissement. Vous avez quelques convictions sur les points qui vous semblent importants et fondamentaux, voici ce qu’un enfant de cinq ans peut vous apprendre s’il était votre coach en négociation.

Obstination

Quand un enfant de cinq ans veut une glace, il la veut vraiment. En fait il ne veut rien d’autre pendant cet espace de temps. Vous le savez : il ne lâchera pas tant qu’il n’aura pas sa glace. Il peut rester en boucle plusieurs heures sur le sujet.

Pour votre négociation, vous ne devez jamais céder sur les points importants que vous avez auparavant choisi (de un à trois maximum). On peut essayer de distraire votre attention en focalisant sur beaucoup d’autres points, ou en vous expliquant les autres avantages de la proposition. Ces avantages sont mineurs pour vous. Mais vous ne devez pas lâcher sur les points qui sont importants selon vous. Tant que vous n’avez pas reçu de non sur la négociation complète vous pouvez espérer un oui sur un de ces points importants.

Supposons que le prix soit votre glace. Partez en boucle sur le prix. Ca agace mais ça marche.

Développez des alternatives 

Un enfant de cinq ans va se reporter sur sa mère s’il n’est pas sûr d’obtenir ce qu’il veut de son père.

Vous devez créer un maximum d’alternatives. Multipliez les possibilités pendant les phases d’approche, et gardez-les en main le plus longtemps possible. Vous devez ouvrir de nouvelles offres avec d’autres partenaires. Créez une deuxième offre, essayez de la mettre en concurrence. Si les deux sont sérieuses : mariez-les ! Multipliez les alternatives, mélangez-les, vous aurez un meilleur résultat.

Momentum

Un enfant de cinq ans tombe toujours au mauvais moment quand il vous demande une glace, mais à ses yeux c’est toujours le meilleur moment.

Choisissez vos moments de négociations. Par rapport à votre actualité mais aussi celles de vos investisseurs. En imposant votre tempo vous les obligerez à se décider vite.

Faites varier les points de négociations 

Un enfant de cinq ans ne demande jamais une glace, il demande une glace devant la télé. Après deux heures de discussions, épuisé, vous craquez, c’est oui pour la glace, non pour la télé. Non mais ! C’est quand même vous le parent.

Tout en restant focalisé sur vos points de négociations, vous pouvez les rendre un peu plus complexes pour diminuer leur importance relative. Vous voulez une valorisation de X, demandez une valorisation de X avec des relations possibles, des mécanismes de sur-distributions. En restant ferme sur X vous avez de bonne chance d’obtenir le prix, plus quelque chose en bonus.

Closing

Un enfant de cinq ans sait closer. Un sourire, une promesse (qu’il ne tiendra peut-être pas) et vous craquez, c’est le moment où le « peut-être » bascule en « oui ».

Une négociation doit avoir une fin, apportez une touche finale pour emporter le oui. Préparez un de vos atouts que vous aviez gardé pour la fin.

« Et si on rajoute ceci peut-on signer aujourd’hui ? »

Voilà ce qu’un enfant de cinq ans sait faire. Voilà ce que les conventions aujourd’hui vous empêchent parfois de faire.

Développez ces compétences ou alors faites-vous accompagner d’une banque d’affaires pour négocier.

Patrick Robin lance un ShopRunner européen: Easy Life Premium

Avolta Studio a pour vocation de participer au lancement et à l’accompagnement de startup créées ou initiées par les associés de la banque d’affaires. Ces startups pourront accueillir par la suite une équipe de management qui fera grandir l’entreprise. Avolta Partners apporte pour sa part son expertise en finance et stratégie. Avolta Studio prévoit de lancer 1 à 2 projets par an.

Créée fin 2012 par Philippe Rodriguez, Patrick Robin et Arthur Porré, Avolta Partners est une boutique M&A, basée à Paris et Londres, accompagnant de entreprises innovantes et leader sur leur marché dans leurs opérations de capital (levée de fonds série A/B et M&A) en Europe.

Notre premier projet porte le nom de code de Easy Life Premium.

Le pitch est très simple :  Livraison gratuite et retours sans frais chez plus d’une centaine de grandes marques, distributeurs et e-marchands français et européens : c’est le service que propose Easy Life Premium aux e-consommateurs pour 49€/an dès la fin de l’année.

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Un joli article déjà dans le journal du net à lire vite.

A quoi ressemblait la Série A d’une start-up à 1 milliard de dollars?

Article passionnant dans Iamwire.com à partir d’une étude de Shasta Ventures.
ils ont étudiés 32 entreprises BTC US, et sont revenus en arrière dans le temps pour regarder à quoi ressemblait leur financement de type Series A.

Et les conclusions sont très intéressantes :
1) Des idées faciles à démonter, à challenger, à réduire.

2) Des marchés très concurrentiels

3) Réinventer une nouvelle expérience client

4) Des fondateurs inexpérimentés.

5) Et aucune monétisation.

Hmmm

Vous comprenez pourquoi nous n’avons pas d’unicorn BTC (ou très peu Vente Privée et Showroom Privé ) en France?

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Une façon positive de le voir c’est que les US ont la capacité à créer de grandes entreprises capable d’innover en terme d’expérience client sur des marchés très concurrentiels, avec des fondateurs ambitieux mais nouveaux dans le secteur.

Voici leurs conclusions :

1. Easy-to-Dismiss Ideas
Once companies reach the billion dollar club, their basic idea and value proposition seem obvious, but this was not always the case in their early days.
Our analysis discovered that many billion dollar companies have ideas that were easy to dismiss at first. How many people really ride in black cars? Who really wants to watch live video streaming of people playing video games? Why does anyone care about yet another cloud backup and sync service? Photo messages… that disappear?!?! How many people are interested in renting a couch in someone’s home?
Airbnb co-founder Brian Chesky has discussed this openly:
When we came to the Valley, no one even wanted to invest in Airbnb. One of the reasons was they thought the idea was crazy. People thought I’d never stay in a stranger’s home. That’s creepy.
It turns out that the biggest ideas are not clear when you first see or hear them, either because the idea seems small, regulations are high, or the fundamental assumption seems flawed. However, successful companies often start with executing very well on an initial concept that is the beginning to a much bigger offering.
2. Competitive Markets
Conventional wisdom would say that successful start-ups go into wide open spaces with bold new ideas. However, we found the opposite to be true. Most of the billion dollar companies we examined are in highly competitive markets.
Take messaging for example. There were plenty of ways to communicate before Snapchat or WhatsApp, but these startups still managed to experience breakout success despite the stiff competition. The social and communication sector actually had the highest concentration of billion dollar companies in our survey.
Another good example is the marketplaces sector, which includes companies like Uber, Airbnb, Eventbrite, and Instacart. There were certainly ways to get cabs, find lodging, organize events, or get groceries delivered before any of these startups came along, and yet these companies delivered a better offering and grew like wildfire.
The key learning is that consumers are willing to embrace superior products and experiences. It is also clear that large existing markets are ripe for disruption by tech enabled companies that create new ways to serve the customer.
3. Reinventing Existing Consumer Behavior
We found that billion dollar consumer companies generally reinvent existing behavior with a superior consumer experience, rather than bringing something radical and novel to the market.
Companies like Nextdoor, Square, Zulily, and others have given consumers new ways to do things they were already doing — connecting with neighbors, paying with credit cards, and buying kids products online. Each company’s success stemmed from a unique insight it had about the customer that spawned a better experience.
Dropbox was just easier to use than other backup/storage/sync solutions, and far better than the USB drive/self-email status quo. Tumblr built an engaged community around content, which may not seem like a big deal at first, but really differentiated its product. Nest built a thermostat that was connected to the Internet, better designed, and more effective at saving energy. Uber has reimagined the model for a transportation company, presenting an infinitely more convenient and enjoyable way to get around town.
4. Untested Founders
Surprisingly, it is most often untested founders, rather than experienced entrepreneurs, who are at the helm of large, fast growing companies.
Three-out-of-four of the companies in our survey were built and run by people who were doing it for the first time. They did not have a win under their belt or deep experience in their field, but were passionate about their product and had a unique perspective on how to serve their target customer. Having a fresh perspective is important in tackling a category as people with industry experience are often constrained by what is “not possible” and why it “won’t work”.
5. Zero Monetization
Another interesting finding is that many of the billion dollar companies were not monetizing their customers at the time of their Series A round, including Twitter, Pinterest, Houzz, and Nextdoor. At this stage, they were focused on building a user base rather than making money. These startups first focused on nailing their customer proposition and increasing adoption and engagement. Once they had established themselves firmly in the market and reached massive scale, then they started to think about revenue.
While most companies did not have revenue early on, we found that many that grow to significant scale did have signs of strong product/market fit and/or exhibited strong network effects by their Series A round.
If this study made anything clear, it is that potentially big ideas are often not obvious at the Series A stage.
Some startups that seem poised for greatness go on to crash-and-burn, while others that are slow to get off the ground surprise everyone with their triumph. There is no formula, expectations are often wrong, and each success story is unique and unprecedented… but that doesn’t mean there are not patterns worth paying attention to.
Our analysis did reveal one clear, underlying theme:
There are large companies to be built by offering new, innovative and superior customer experiences to large markets, regardless of how competitive the sector already is or how successful the founders have been before.