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Brûler des billets de banque virtuels n’est pas interdit.

J’ai lu ceci sur le site de DAN ARIELY qui est un auteur de livres de management. Il est répondait à une question concernant une application qui permet d’acheter des billets virtuels en ligne pour les flamber en ligne.

http://danariely.com/ask-ariely/

Dear Dan,
A new Android app called Burn Money lets users pick an animated replica of a bill from $1 to $100, pay for it with real money, then flick an animated lighter and watch the bill burn to electronic ashes. Users later receive a certificate they can post on their social media pages. And that’s it.

What do you think?

-Emilia

Curious. Maybe people are using this app as a signaling device. Signaling is a way to communicate to ourselves and anyone watching who we are—and, often, who we want to be. For example, we can signal prosperity with the homes we buy, we can signal stylishness with the clothes we wear, and we can signal environmental concern with the hybrids we drive.

Similarly, letting people know you’ve been burning money (both virtual and real) could be an attempt to signal wealth—as if people are saying, both to themselves and to anyone watching, “Look at me: If I can burn money, doesn’t that show how wealthy and comfortable I am?”

Burn Money Sur Google Pay
Burn Money Sur Google Pay

Metallica au Stade de France

Grande soirée de concert avec Lucas et Camille samedi soir au Stade de France pour écouter Metallica.  Un concert inoubliable, près de 100 000 personnes qui hurlaient de plaisir.

Petit extrait du Parisien :

Dans des gradins chevelus et habillés de noir, trois générations de fans de metal — dont Nicola Sirkis, qui a rempli le Stade il y a deux ans avec Indochine, Philippe Manœuvre, l’animateur Sébastien Folin, le chanteur Tété — mais aussi des couples qui se sont connus en dansant sur « Nothing Else Matters » ont croqué pendant deux heures leur madeleine de Proust. Mais si leurs papilles étaient à la fête, leurs oreilles sont sorties saignantes après trois rappels délivrés dans un déluge pyrotechnique et sonore. Le show s’est arrêté là. Pas l’état de grâce. Lumières rallumées, les quatre artistes ont prolongé le bonheur de la foule sous ses acclamations avant de se draper dans un drapeau tricolore orné du logo du groupe