Archives du mot-clé COMMERCE ELECTRONIQUE

Le site marchand de NEWMAN est en ligne…

Bienvenue à la marque NEWMAN parmi les nouvelles marques partenaires de Mixcommerce.

Marque française par excellence, NEW MAN se lance dans le e-commerce. Avec une semaine d’avance par rapport au planning le site de commerce électronique est disponible, il propose déjà toute la nouvelle collection d’hiver.

L’offre des références de cette boutique sera exceptionnellement large puisqu’elle sera identique à celle du ‘‘flagship store’’ NEW MAN situé à Paris, 25 boulevard des Capucines.

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Avec plus de 40 ans d’expérience dans la distribution traditionnelle, NEW MAN se devait de s’ouvrir au monde du web pour compléter l’offre de son réseau en France et à l’étranger. L’équipe de Mixcommerce est très fière de démarrer cette collaboration avec NEWMAN autour d’un contrat pluri-annuel de Commerce Electronique Délégué.

Sur le plan du style, NEW MAN distille une philosophie vestimentaire, un art de vivre, « bien dans sa vie, bien dans son temps ». NEW MAN, un style chic et décontracté. Les valeurs sont actuelles : qualité, intégrité, bien-être. NEW MAN utilisent les codes classiques et les détournent par un mix de pièces plus fantaisie.

Nous vous invitons à le découvrir tout de suite sur le site marchand de Newman !

ECOMMERCE ET LUXE : LA MESSE EST DITE

Lu dans News.fr

Christian Dior, Louis Vuitton, Hermès, Gucci… Les enseignes de luxe aussi ont pris le train du commerce électronique.

Trois grands thèmes portent souvent ces choix :

  • Une opportunité de cibler une clientèle plus jeune.
  • Agrandir leur zone de chalandise ! Entre autres les régions.
  • De proposer des services exclusifs.

110_F_2455467_3rjtYDVfpTmwbG3aEOhM9gKdIwklZE[1] « Les marques ont compris qu’elles pouvaient mettre en scène leur univers sur internet et capter de nouveaux clients », souligne Marc Lolivier, délégué général de la Fédération des entreprises de vente à distance (Fevad).

De nouveaux clients de nouvelles opportunités

Selon une étude réalisée par le Credoc pour la Fevad en octobre dernier, près de 80% des Français disposant d’un revenu supérieur à 4 500 euros par mois achètent régulièrement sur internet, contre seulement 42% de ceux ayant des revenus compris entre 1 500 et 2 300 euros. Au-delà d’une clientèle aisée, le web permet aussi de toucher celle qui n’ose pas franchir la porte des boutiques de luxe. À l’instar de Christian Dior, qui ne compte que de sept magasins hors de Paris, c’est aussi un moyen de rencontrer des clients résidant dans les régions.

La plupart des marques en ligne proposent maroquinerie ( pas de taille ) , joaillerie, accessoires et parfums, mais rarement des vêtements.

« Ce sont des articles qu’il faut essayer, toucher, porter, donc peu compatibles avec un achat en ligne », argumente un représentant d’Hermès.

Chez Hermès, l’internaute peut se faire livrer par coursier sa cravate en trois heures à Paris et en banlieue. Comme dans ses boutiques, Louis Vuitton satisfait, depuis son site, des « commandes spéciales », par exemple des mallettes sur mesure confectionnées dans son atelier d’Asnières.

Thierry Mugler propose exclusivement sur son site, mis en ligne cette année, certains produits et services, tels qu’un coffret collector de son dernier jus, Le Parfum. Les internautes peuvent même s’inscrire à des ateliers parfum ou encore à des clubs virtuels créés par fragrances.

Des boutiques à part entière

Coup de griffe aux sites de déstockage tels que vente-privée.com, ces boutiques en ligne se veulent des clones de celles situées avenue Montaigne à Paris. « Notre boutique en ligne est une boutique à part entière, qui ne vend pas des fins de stocks: elle a sa propre gestion des commandes et des stocks, et offre des possibilités de préréservation » , insiste un représentant de Dior.

Leur présence en ligne est aussi une manière de faire face aux contrefaçons sur le site d’enchères eBay. D’ailleurs, le message est clair sur la page d’accueil de Hermès.fr: « seuls les achats effectués selon ces canaux de vente (les sites officiels des marques, Ndlr) vous garantissent d’obtenir des produits authentiques. En dehors de ces canaux, vous risquez d’acquérir des contrefaçons ou des produits endommagés ».

Pourtant, les grandes maisons restent discrètes sur leur présence en ligne : aucun chiffre officiel n’est communiqué sur leurs ventes. Louis Vuitton se refuse même à tout commentaire concernant sa e-boutique ouverte fin 2005.

Lu dans News.fr Les marques de luxe se convertissent à l’e-commerce – Business – News.fr

 

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ECOMMERCE ET LUXE : LA MESSE EST DITE

Lu dans News.fr

Christian Dior, Louis Vuitton, Hermès, Gucci… Les enseignes de luxe aussi ont pris le train du commerce électronique.

Trois grands thèmes portent souvent ces choix :

  • Une opportunité de cibler une clientèle plus jeune.
  • Agrandir leur zone de chalandise ! Entre autres les régions.
  • De proposer des services exclusifs.

110_F_2455467_3rjtYDVfpTmwbG3aEOhM9gKdIwklZE[1] « Les marques ont compris qu'elles pouvaient mettre en scène leur univers sur internet et capter de nouveaux clients », souligne Marc Lolivier, délégué général de la Fédération des entreprises de vente à distance (Fevad).

De nouveaux clients de nouvelles opportunités

Selon une étude réalisée par le Credoc pour la Fevad en octobre dernier, près de 80% des Français disposant d'un revenu supérieur à 4 500 euros par mois achètent régulièrement sur internet, contre seulement 42% de ceux ayant des revenus compris entre 1 500 et 2 300 euros. Au-delà d'une clientèle aisée, le web permet aussi de toucher celle qui n'ose pas franchir la porte des boutiques de luxe. À l'instar de Christian Dior, qui ne compte que de sept magasins hors de Paris, c'est aussi un moyen de rencontrer des clients résidant dans les régions.

La plupart des marques en ligne proposent maroquinerie ( pas de taille ) , joaillerie, accessoires et parfums, mais rarement des vêtements.

« Ce sont des articles qu'il faut essayer, toucher, porter, donc peu compatibles avec un achat en ligne », argumente un représentant d'Hermès.

Chez Hermès, l'internaute peut se faire livrer par coursier sa cravate en trois heures à Paris et en banlieue. Comme dans ses boutiques, Louis Vuitton satisfait, depuis son site, des « commandes spéciales », par exemple des mallettes sur mesure confectionnées dans son atelier d'Asnières.

Thierry Mugler propose exclusivement sur son site, mis en ligne cette année, certains produits et services, tels qu'un coffret collector de son dernier jus, Le Parfum. Les internautes peuvent même s'inscrire à des ateliers parfum ou encore à des clubs virtuels créés par fragrances.

Des boutiques à part entière

Coup de griffe aux sites de déstockage tels que vente-privée.com, ces boutiques en ligne se veulent des clones de celles situées avenue Montaigne à Paris. « Notre boutique en ligne est une boutique à part entière, qui ne vend pas des fins de stocks: elle a sa propre gestion des commandes et des stocks, et offre des possibilités de préréservation » , insiste un représentant de Dior.

Leur présence en ligne est aussi une manière de faire face aux contrefaçons sur le site d'enchères eBay. D'ailleurs, le message est clair sur la page d'accueil de Hermès.fr: « seuls les achats effectués selon ces canaux de vente (les sites officiels des marques, Ndlr) vous garantissent d'obtenir des produits authentiques. En dehors de ces canaux, vous risquez d'acquérir des contrefaçons ou des produits endommagés ».

Pourtant, les grandes maisons restent discrètes sur leur présence en ligne : aucun chiffre officiel n'est communiqué sur leurs ventes. Louis Vuitton se refuse même à tout commentaire concernant sa e-boutique ouverte fin 2005.

Lu dans News.fr Les marques de luxe se convertissent à l'e-commerce – Business – News.fr

 

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Le ecommerce des vêtements décolle aux US grace à la délégation totale.

aeropostale

Lu sur le journal du net. Une belle référence de ecommerce délégué. Aersopostale a délégué (externalisation 100% )  son site de ecommerce auprès d’un opérateur américain.

Le résultat est là : très belle croissance pour la marque de vêtements pour jeunes Aéropostale.com. Lancée en 2005 sur Internet, l’enseigne affiche un chiffre d’affaires de 9,7 millions de dollars en 2006, soit une croissance de 152 % sur un an.

Un dynamisme que la marque doit aussi en partie à la vitalité des ventes de vêtements en ligne aux Etats-Unis. En 2006, l’habillement, les accessoires et les chaussures représentaient, avec 18,3 milliards de dollars, la première catégorie de produits vendus en ligne selon Shop.org.

MixCommerce travaille sur des approches similaires pour l’Europe, avec des grandes marques dans ce domaine.

Source : Internet Retailer/ 2007, * estimation Internet Retailer, ** moyenne mensuelle Nielsen NetRatings

Le ecommerce des vêtements décolle aux US grace à la délégation totale.

aeropostale

Lu sur le journal du net. Une belle référence de ecommerce délégué. Aersopostale a délégué (externalisation 100% )  son site de ecommerce auprès d'un opérateur américain.

Le résultat est là : très belle croissance pour la marque de vêtements pour jeunes Aéropostale.com. Lancée en 2005 sur Internet, l'enseigne affiche un chiffre d'affaires de 9,7 millions de dollars en 2006, soit une croissance de 152 % sur un an.

Un dynamisme que la marque doit aussi en partie à la vitalité des ventes de vêtements en ligne aux Etats-Unis. En 2006, l'habillement, les accessoires et les chaussures représentaient, avec 18,3 milliards de dollars, la première catégorie de produits vendus en ligne selon Shop.org.

MixCommerce travaille sur des approches similaires pour l'Europe, avec des grandes marques dans ce domaine.

Source : Internet Retailer/ 2007, * estimation Internet Retailer, ** moyenne mensuelle Nielsen NetRatings

Le « Black Friday » dope le trafic du e-commerce américain – Journal du Net

110_F_1948884_YSH5qWGaODBURPjPMBdXZXq13bPEB0[1] Depuis le 17 novembre, le trafic sur les sites de e-commerce américain grimpe en flèche. Selon Hitwise l’audience des sites préparant ou recensant des opérations pour le « Black Friday », le lendemain de la fête de Thanksgiving (le 22 novembre) qui marque l’ouverture de la saison de Noël, a explosé de 147 % au cours de la semaine dernière. L’iPod et la console de Nintendo Wii figure en tête du classement des produits les plus recherchés par les cyberacheteurs américains

Le « Black Friday » dope le trafic du e-commerce américain – Journal du Net

Le « Black Friday » dope le trafic du e-commerce américain – Journal du Net

110_F_1948884_YSH5qWGaODBURPjPMBdXZXq13bPEB0[1] Depuis le 17 novembre, le trafic sur les sites de e-commerce américain grimpe en flèche. Selon Hitwise l'audience des sites préparant ou recensant des opérations pour le "Black Friday", le lendemain de la fête de Thanksgiving (le 22 novembre) qui marque l'ouverture de la saison de Noël, a explosé de 147 % au cours de la semaine dernière. L'iPod et la console de Nintendo Wii figure en tête du classement des produits les plus recherchés par les cyberacheteurs américains

Le "Black Friday" dope le trafic du e-commerce américain – Journal du Net

Externalisation et délégation de eCommerce, les grandes marques s’y mettent!

Le Tanneur & Cie confie à MixCommerce la délégation complète de son e-Commerce mondial.

Photo Hervé Descottes, PDG de Le Tanneur et Cie (LTAN) a signé hier un accord de délégation totale du e-Commerce, confiant la responsabilité à MixCommerce pour une durée de quatre années. Cet accord comprend les marques SOCO et LE TANNEUR.

Par cet accord, la marque délègue la stratégie e-commerce, le marketing, merchandising électronique ainsi que la logistique de tous les sites de e-Commerce rattaché à

la marque Le Tanneur.

A cet effet, MixCommerce agit comme franchisé-commissionné et opère partout dans le monde pour opérer électroniquement les ventes de la marque.

La marque Le Tanneur qui dispose déjà d’un site actif de Commerce Electronique compte, avec cet accord,  développer ses ventes électroniques directes et vise un CA annuel de 2M€ à l’issue de la quatrième année. A cette date, c’est plus de 17 000 produits par an qui pourront être livrés dans plusieurs zones géographiques.

L’accord prévoit la livraison, début 2008, d’un nouveau site de e-commerce qui fonctionnera sur notre plateforme mutualisée et opéré par les équipes de MixCommerce.

Aujourd’hui, MixCommerce étudie avec une vingtaine de très grandes marques des projets de e-commerce mondial. Ces marques démarreront dans sur notre plateforme d’ici le début de l’année.

Lire la suite Externalisation et délégation de eCommerce, les grandes marques s’y mettent!

Ecommerce en délégation

100 % délégué ?

Une marque doit elle déléguée son ecommerce?

La vraie question parfois est : une marque peut elle internaliser son site de e-commerce ?

En regardant les différents exemples que nous proposons dans nos séances d’audit, nous observons qu’il est très difficile d’investir et de rentre rentable un site de e-commerce pour une marque ou une marque enseigne en agissant « seul » c’est-à-dire sans mutualiser.

Les difficultés dans l’internalisation des sites de ecommerce que l’on nous remonte le plus fréquemment sont les suivantes :

* Cout de conception du site web sans visibilité sur le ROI

* Compétences à agréger dans une équipe ecommerce en interne : E-marketing, eMarchandising, Logistique de Détail

* Nombreux points de contacts

* Multiples frais d’honoraires dans tous les maillons de la chaine = empilement des marges intermédiaires.

MixCommerce a développé un service d’audit pour les marques qui leur permet de comparer leur performance avec les meilleures entreprises du secteur. Cette offre vous permet de mieux cerner les capacités et le potentiel de ce canal de distribution qui est le plus souvent sous-exploité.

Marier Vidéo et ecommerce

Lu dans le revue de presse de ebusiness info : "Exemple amusant à l’appui, ce long article explique que les marchands devraient s’intéresser au potentiel de la vidéo pour faire passer leurs messages. Si les vidéos humoristiques viennent immédiatement à l’esprit, il ne faut pas laisser de côté le potentiel de la vidéo dans les démonstrations produit. D’autant que les prix ne sont pas si élevés si on ne vise pas la superproduction"

De bons exemples avec différents sites aux US qui franchissent le pas du téléachat sur l’internet, avec une volonté clairement affichée de construire du « lien » avec leurs clients… 

Quelques extraits : 

Some retailers have begun investing in online video, a few even starting their own online “TV channels.” But when it comes to creating basic, attractive display or demonstration videos, the price is surprisingly small, experts attest. Beyond content creation, ensuring an e-commerce site has technology that can display video—Flash, for example—and the bandwidth to ensure a good site experience for shoppers/viewers is a must. Many retailers, however, already have these in place, the experts add.

The Internet by its nature creates barriers between shoppers and products. Online video enables us to remove barriers,” Gniwisch says. “Shoppers can see what it looks like on people, what to wear with it—web pages get a life of their own instead of just presenting a more static view.”

Online video is huge :Time is not an obstacle at Bodybuilding.com, where using online video to draw visitors is a strategic priority. Bodybuilding.com is two entities: one for shopping, and one for providing fitness information, guidance and resources in various formats, from text to images to podcasts to videos. The e-retailer has more than 400 regular content contributors, about 98% of whom, the company estimates, submit materials in a variety of formats for free. It pays a few contributors for videos, but they are among the top trainers and bodybuilders, CEO DeLuca says